23.11.2022 | Témoignage

Portrait de Nicolas Ferron, chef de secteur chez Picoty Réseau

Je m’appelle Nicolas Ferron, j’ai 54 ans et je suis chef de secteur chez Picoty Réseau depuis 11 ans. Mon métier consiste à piloter, suivre et couvrir des stations-service AVIA qui peuvent être gérées par des locataires gérants ou directement par des automates.
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Pouvez-vous vous présenter ?

Je m’appelle Nicolas Ferron, j’ai 54 ans et je suis chef de secteur chez Picoty Réseau depuis 11 ans. Mon métier consiste à piloter, suivre et couvrir des stations-service AVIA qui peuvent être gérées par des locataires gérants ou directement par des automates.

Quel a été votre parcours jusqu’à aujourd’hui ?

Je suis dans les énergies depuis que j’ai commencé à travailler, de ce fait j’ai toujours été au contact de l’environnement des stations-service. Avant d’intégrer Picoty j’ai été salarié d’une autre enseigne pétrolière de 1990 à 2010. Je suis ensuite arrivé chez Picoty en août 2010 et, depuis, j’occupe la fonction de chef de secteur. Après avoir eu différentes typologies de stations et de secteurs à gérer, je suis désormais en charge des stations automates et GNL du Nord au Sud de la France, d’Arras jusqu’aux Pyrénées.

En quoi consiste votre métier de chef de secteur ?

Mon métier consiste à piloter, suivre et couvrir des stations-service AVIA qui peuvent être gérées par des locataires gérants ou directement par des automates. La particularité, c’est que je dois m’assurer que le fonds de commerce des stations qui appartient au groupe Picoty est bien géré selon notre politique. Je veille à ce que les locataires gérants s’impliquent selon nos liens contractuels et que les objectifs économiques que nous fixons soient en phase avec les chiffres d’affaires en cours de réalisation. Je suis souvent en déplacement pour leur rendre visite, mais j’assure aussi leur suivi quotidien grâce à différents tableaux de gestion comptable et autres tableaux de bord. Mon action ne peut être efficace et productive qu’avec et grâce à l’ensemble de mes collègues avec lesquels je travaille et collabore au quotidien.

Quelles sont les qualités personnelles requises pour exercer ce métier ?

Il faut faire preuve de coordination lorsque l’on met en place un plan d’actions et que l’on fait intervenir des services internes ou externes à Picoty. Il est également nécessaire de savoir prendre du recul notamment lors des périodes de stress comme les impondérables matériels ou humains qui impactent le bon fonctionnement d’une station (sinistres, incidents, accidents, grèves, blocages routiers, etc). Avoir une force de persuasion et des aptitudes communicationnelles s’avère capital dans nos relations quotidiennes.

De quoi êtes-vous le plus fier dans votre métier ?

D’une manière générale quand on redémarre des stations-service après-travaux avec un changement complet des activités ou de la typologie de la station, il y a une part de défi et de challenge vis-à-vis des nouveaux objectifs de chiffres d’affaires et de rentabilité. Lorsque des mois après, on compare le prévisionnel et le réalisé, et que les deux sont en phase et en ligne, on est satisfait de soi. Cela peut concerner des budgets importants, alors on est fier de savoir que les objectifs d’exploitation ont été atteints et que les charges ont été maitrisées.

Pourquoi Picoty ?

Dans ma précédente mission, le groupe, dans lequel j’étais salarié, était important mais je ne connaissais pas les dirigeants et leur politique à moyen terme car le marché français était compliqué pour eux. J’aspirais à aller dans une entreprise avec des objectifs plus concrets et avec plus de proximité entre les salariés et la direction. Je voulais savoir pourquoi j’exerçais mon activité, donner davantage de sens. Et tout cela je l’ai trouvé chez Picoty !

Auriez-vous une anecdote à nous partager ?

La période du confinement a été assez surprenante et riche d’enseignements car en quelques jours, tout le monde s’est adapté aux circonstances et tous les services se sont impliqués dans les conditions particulières qui nous étaient imposées.

Le fait d’avoir l’obligation de rester à notre bureau alors que nous savions que les stations-service restaient ouvertes, avec du personnel au contact de la clientèle ou du public, était très frustrant. J’aurais voulu être à leurs côtés plus que je ne l’étais pour leur dire « nous voyons et nous savons ce que vous faites ! ».

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